Ces objets sont émaillés avec 5 ou 6 émaux différents. Je les dispose les uns après les autres en utilisant une louche ou une cuillère à soupe comme je le ferais avec un pinceau, le débit, le mouvement de la louche et du pot recouvert définissent  des traces régulières et choisies, mais bien sûr très spontanées.

L’ensemble des superpositions crée à la cuisson d’autres variations d’émaux.

La présence de rouge de cuivre,  de shino jaune, rendent ces surfaces très chaudes.